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      Mes rêves à l’adresse des Gouvernements belges
    jeudi 31 janvier 2019

Depuis cette brève, il y a eu la mise en exergue de l’urgence climatique. La réalisation de ces rêves repose sur la nécessité de mettre en œuvre une politique contraignante vis-à-vis des grands pollueurs. Les efforts individuels montrent le chemin mais sont loin de suffire. C’est un Gouvernement mondial qui doit prendre des mesures drastiques pour sauver la planète et l’humanité.

Un rêve qui n’en finit pas...

Sur le plan international, je rêve notamment :
-  de la paix en Syrie
-  de la paix entre Israëliens et Palestiniens
-  de la paix en Afrique
-  ...

En Belgique :
-  d’une réunion des Ministres concernés par une politique pour le respect des droits des jeunes consommateursen particulier l’éducation et la protection juridique ;
-  de l’introduction dans les programmes scolaires, y compris dans la formation des enseignants, d’une formation au bonheur ;
-  d’un(e) Ministre de la Justice qui aurait le courage d’organiser la réunion au sommet demandée par les syndicats : réunir tous les acteurs concernés par la prison pour réfléchir au "sens" de la prison, tant pour la société que pour les détenus et les victimes.

Il s’agirait me semble-t-il notamment d’examiner les réponses aux questions suivantes et la politique à définir en conséquence :
-  La surpopulation : qui se trouve en prison ? On connaît le pourcentage des prévenus (personnes non encore jugées), des sans-papiers, des toxicomanes, des criminels en col blanc, des pédophiles, des malades mentaux, etc. c’est-à-dire la majorité des détenus. On sait aussi que 70% des ex-détenus reviennent en prison. Pourquoi ? Utilité de la prison pour ces personnes ? Quelles alternatives ?
-  Quelles mesures de prévention, notamment par l’éducation ? Il ne s’agit pas de faire peur : la peur est contre-productive. Mais d’apprendre le bonheur.
-  Comment mieux former et entourer les gardiens, les directions de prison ? Les conditions d’engagements des gardiens ne devraient-elles pas être revues ? Il ne s’agit pas seulement de "surveiller" des détenus mais au minimum d’assurer des relations respectueuses de part et d’autre ?
-  Mise en place d’une formation permanente à l’instar de ce qui est fait pour les enseignants...
-  L’organisation de la santé en prison : accueil des nouveaux arrivants, soins journaliers, etc.
-  Etude des besoins vitaux et de leur satisfaction adéquate en prison, notamment espace, oxygène, hygiène, contact avec la nature, qualité de l’alimentation, reconnaissance, respect, repos, silence, etc.
-  Possibilité de se former, de travailler, de s’exprimer en prison...
-  Aide à la réinsertion : développement de l’accueil des ex-détenu sans revenu, sans sécurité sociale, pour trouver un logement et se réinsérer professionnellement et socialement.

-  Une allocation universelle calculée sur base de la connaissance et de la satisfaction des besoins vitaux.

-  La mise en train d’une politique de logement qui garantisse à tous l’accès à un logement décent.

-  La multiplication de lieux de rencontres, d’expressions artistiques et d’entraide.

Conséquences :
-  plus de pauvres ni de sans logis
-  fin de la solitude obligée source de souffrance
-  renforcement de l’égalité entre les personnes sur le plan financier
-  plus de peur de "l’autre", en particulier des immigrés
-  plus de nécessité d’organes de contrôle puisqu’il n’y aurait plus de nécessité de fraude
-  plus d’envie, de nécessité de paraître, de s’intégrer dans une "classe sociale de nantis"
-  diminution de la criminalité, de la violence
-  fin de l’angoisse pour la survie
-  développement d’un sentiment de sécurité universel
-  autrement dit, fin de l’insécurité générale sur laquelle prend appui l’extrême droite.

Les top managers et grands patrons, en particulier les "criminels" économiques qui ont pignon sur rue,
-  apprendraient le bonheur
-  feraient amende honorable et se réuniraient autour d’une table pour mettre fin à leur système de profit ; décideraient que la santé et le bien commun seraient des priorités ; de même que la sauvegarde de l’environnement et le développement des alternatives aux ressources périssables ;
-  décideraient la mise sur pied d’un Gouvernement mondial qui aurait pour seule mission le bien-être de tous sur toute la planète, autrement dit l’application effective de la "Déclaration universelle des Droits de l’Homme", en particulier en ce qui concerne la satisfaction adéquate des besoins vitaux.