1) La famille des Psy - like
Il y a bien sûr
Maslow, et sa pyramide, Maslow que tant de monde fait parler, sans l’avoir lu, mais il y a aussi
Piaget et encore les personnes qui parlent ou écrivent sur l’écoute et l’empathie, ...
La Gestalt, la PNL, la Théorie du Flux, ont des références plus ou moins cachées aux besoins, au bonheur et au malheur.
Marshall B. Rosenberg avec ses compagnons comme Thomas D’Ansembourg, Jean-Philippe Faure, Céline Girardet ..., définissent les besoins de la manière suivante :
Les besoins sont :
universels (communs à tous les êtres humains)
ni bons, ni mauvais
attachés * ni à une personne * ni à un objet * ni à une stratégie
Je retiens cette définition pour l’instant ( 27/11/2008 ).
Des Infirmières/ers ou des formateurs d’infirmiers/ères :
Virginia Henderson et ses formations contenant une grille de 14 besoins,
Mishara et Riedel qui proposent un ordre chronologique d’apparition des besoins « selon Maslow », somme toute une certaine stratification (Le vieillissement, PUF)
Rosette Poletti, infirmière suisse.
Des êtres venant d’autres horizons :
La Classification des besoins humains fondamentaux selon Max-Neef (économiste)
Robert ARDREY et sa petite grille de trois besoins fondamentaux : Identité, Sécurité, Stimulation.
Meyer Ifrah, psy, ingénieur, consultant, avec sa théorie des 2L : le lien (Intégration, Attachement) et la loi ( Différentiation, séparation), déclinée suivant quatre niveaux : les fonctions vitales, les caractéristiques psychologiques, les processus sociaux, l’aspect culturel...,
Bouddha et certains aspects que j’ai découverts dans les écrits de Stephen Batchelor
Antony de Mello et ses écrits sur l’attachement, c’est - à - dire pour moi un choix figé de stratégies de satisfaction de certains besoins, point de vue adopté aussi par le Théorie des Scénarios en Analyse Transactionnelle.
Il y a sans doute l’histoire du monde : chacun d’entre nous cherche à satisfaire ses besoins.
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