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      D’où vient mon intérêt pour la question des besoins ?
   

Dans mon souvenir, d’abord à la suite de mon expérience thérapeutique :

Lors d’une relation amoureuse passionnée, je me suis découverte extrêmement jalouse. Je me suis aperçue que cette jalousie n’était pas justifiée et j’ai voulu comprendre sa signification. J’ai alors entrepris une thérapie en bioénergie (entretiens centrés sur le ressenti). La thérapeute me demandait souvent : « c’est quoi votre besoin ici ? » J’avais des difficultés pour l’identifier. Finalement, comme cela se répétait, je lui ai demandé s’il n’existait pas une référence systématique théorique car je craignais de devoir continuer cette thérapie sans fin. Elle m’a répondu que oui mais que je devais découvrir mes besoins vitaux par moi-même. (Le sentiment de jalousie avait pour origine un sentiment d’abandon dans ma toute petite enfance.)

Le bienheureux hasard m’a fait me trouver dans le cabinet d’une kiné qui avait affiché la liste des besoins selon Marge Reddington. Merveille ! De fil en aiguille, j’ai pu alors contacter des « symbolistes » en relation avec Marge Reddington et je me suis inscrite à ses formations. Tout le monde pouvait s’y inscrire mais le public était surtout composé de personnes en relation d’aide.

Lors d’une formation, quand Marge a abordé systématiquement les besoins vitaux et en particulier, l’estime de soi, elle a mis le doigt sur un manque criant chez moi et cette prise de conscience m’a fait pleurer de soulagement.

Ensuite, professionnellement : Ayant travaillé au CRIOC (Centre de Recherche des Organisations de Consommateurs) ( Le CRIOC a été dissout et déclaré en faillite en 2015. Par la suite, l’AB-Reoc, l’Association belge de recherche et d’expertise des organisations de consommateurs, a été créée pour reprendre certaines de ses missions) comme responsable de l’éducation des jeunes consommateurs pour la Communauté française, j’ai été reconnue comme expert européen de l’éducation des jeunes consommateurs. Comment répondre à la question : « acheter ou ne pas acheter ? Et qui se serait donné le droit de dire : « « ceci est superflu pour toi » ? Il fallait que les jeunes puissent s’approprier des repères et décider pour eux-mêmes ce qu’il était juste d’acheter. D’où l’importance de distinguer besoin vital de la manière de satisfaire ses besoins (les désirs) et des envies.

Enfin, politiquement : Quel est le talon d’Achille de la société de consommation ? Comment conduire les personnes à se centrer sur l’essentiel pour leur bien-être personnel et collectif, présent et futur ? La surconsommation est nocive pour la santé et l’environnement, épuise inutilement les ressources planétaires, approfondit les inégalités planétaires.