Les jeunes s’alimentent de plus en plus mal : moins de fruits et de légumes. Plus d’alcool, de tabac, de cannabis, d’ecstasy et autres stupéfiants, avec comme conséquence directe une fatigue matinale insurmontable et des problèmes familiaux, scolaires et professionnels...
La fragilisation de la santé mentale n’est pas non plus à négliger : stress, insomnies, violence et suicide en sont les expressions les plus courantes.
Comme pour le surendettement, nous observons une corrélation directe de ces symptômes et d’un milieu socio-culturel défavorisé.
Les jeunes rejettent l’éducation pour la santé moralisatrice, coincée dans les interdits, décalés de leur vécu.
Rejoints sur plusieurs points par des adultes, ils révèlent ou confirment des repères de qualité dignes d’intérêt, porteurs d’actions basées sur l’approche globale et positive de la santé, la participation et le communautaire, l’estime de soi et la qualité du cadre de vie.
(Extrait de "Education Santé" n°148 - mai 2000 - cf liens)
Les problèmes de la sécurité des produits jeunes (sports et loisirs, sécurité domestique, déplacements, jouets...) seront également abordés dans ce cadre. |